A la Croisée de l'Anjou, de la Touraine et du Poitou

Lycée Guy Chauvet
anciennement collège
par Jean-Claude Raymond

Présentation

Logo lycée Guy-Chauvet à Loudun (France)
Le lycée Guy-Chauvet remplaça le collège du même nom qui succédait au collège fondé suite à une donation de 30 000 livres tournois données, en 1610 par Guy Chauvet afin que tous les enfants de Loudun puissent accéder à l'éducation.

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Histoire du collège par Lerosey

LE COLLEGE DES CHAUVET

Avant l’établissement du collège, il y eut à Loudun  des écoles particulières . Pierre Boulanger , de Troyes en Champagne, passait pour très savant dans les langues anciennes. Il mourut en 1596. Nous voyons sa veuve figurer comme marraine dans un acte de baptême fait en l’église du Martray en 1596. Les hommes profondément instruits que Loudun possédait à cette époque démontrent suffisamment que dans cette ville les études étaient fortes et soumises à de bonnes méthodes pédagogiques. Outre ces maîtres isolés, il faut compter dans  Loudun,,  à la fin du XVIe siècle, les Bénédictins, et au commencement du XVIIe , les Jésuites, et des maîtres protestants qui donnaient l’enseignement littéraire.

   Cependant un collège manquait à la ville de Loudun pour l’éducation et l’instruction  de la jeunesse. Guy Chauvet, avocat au Parlement de Paris, sentit le besoin de combler cette lacune. Par son testament du 17 février 1610, il légua 30.000 livres tournois, tant pour la dotation d’un collège que pour l’instruction de ses parents pauvres. Cette fondation fut autorisée par lettres patentes du 7 septembre 1610, sur la requête d’Auguste Chauvet, procureur du roi à l’Election  et de Charles Chauvet , assesseur au bailliage, tous les deux frères du défunt, et nommés par lui ses exécuteurs testamentaires. Par ce testament, le patronage et la direction du collège étaient dévolus à Auguste et à Charles Chauvet et à leurs successeurs mâles. Ces droits furent confirmés par arrêt de la Chambre de l’édit du 3 août 1613. Cet arrêt avait été obtenu contre les habitants de Loudun, qui appartenaient à la religion réformée. Ceux-ci voulaient, en effet, que les régents et ceux qui occuperaient la principalité fussent nommés indistinctement par les officiers de l’une et l’autre religion.

   Lors de la publication du testament de Guy Chauvet, les protestants avaient réclamé la moitié des 30.000 livres, pour établir un second collège, ou au moins un choix de professeurs mi-partie catholiques et mi-partie protestants. Ils s’appuyaient sur ce que Guy Chauvet était mort  protestant , selon eux. Il fut facile de détruire cette calomnie. On prouva que le testateur était mort attaché à la doctrine catholique. Le conseil pressentant tous les abus qui pourraient résulter d’une éducation mixte, décida qu’il ne serait admis dans le collège que des régents catholiques. L’évêque de Poitiers ne pouvait approuver des régents protestants, choisis par le patron du collège, pas plus que le chapitre de Sainte-Croix ne pouvait annuellement leur délivrer le revenu temporel de la prébende préceptoriale, affectée au collège par l’ordonnance d’Orléans.

   Boiré fut le premier principal. Il succéda aux droits de l’ancien maître d’école de Loudun.

   La Cour débouta le principal Simon Dezalais dans ses prétentions à jouir des droits, séances, honneurs et prérogatives appartenant aux autres chanoines. Ainsi fut infirmée la sentence du bailliage, rendue en faveur de Dezalais, le 29 janvier 1755.

   Un arrêt du 23 février 1767 supprima le bureau ouvert par les officiers du bailliage.

   Les biens du collège consistaient dans l’immeuble qu’il occupait, dans la seigneurie de Martigné-en-Mazaut, paroisse de Chalais  (1) dans une métairie, nommée la Chauveterie et située dans la paroisse de la Chaussée (2).

 La maison du collège ne fut pas vendue nationalement. Elle se trouve à l’extrémité sud et à droite de la rue qui en porte le nom. Elle occupe l’emplacement de l’habitation de Salmon Macrin.

Au-dessus de la porte d’entrée, on lit cette inscription :
    « Marmore quisquis in hoc oculos mentemque moraris,
    « In patriam auctoris, dic, rogo, quantus amor. »

Au dessus de la porte principale des bâtiments, on voit cette autre inscription :
                C’est le collège fondé
                Et doté de Maître Guy
                Chauvet, avocat au
                Parlement, qui décéda
                Le 18e jour de febvrier
                    1610 (3)

    D’après le rapport de Colbert de Croissy, en 1664, le collège des Chauvet distribuait l’enseignement à 40 élèves. Il proposa à la Cour d’y mettre les Jésuites, pour relever la maison, qui était mal entretenue, ajoute le rapporteur.

    Les Jésuites ne prirent jamais la direction du collège ; mais lors de leur suppression, en 1762, leurs revenus qui étaient de 9.000 livres furent employés à en restaurer les bâtiments  et 10.000 livres furent prélevées sur les habitants pour le même objet.

PRINCIPAUX DU COLLÈGE
ANTÉRIEURS À 1789 :


1610 Boiré, premier principal ;
1624 Jehan Louis Letus ;
1635 Guillaume Stracan, laïque ;
1652 Benjamin Louis Chauvet, curé de Saint-Pierre du-Marché et principal du collège ;
1691 Pierre Guesdon ;
1698 Pernet, prêtre ;
1743 Fouquet, prêtre ;
1759-1766Simon Dezalais, prêtre ;
1789 Jean Diotte de la Haye, prêtre.

En l’an IX de la République, le ministre de l’Instruction publique, Chaptal, faisait une enquête sur le collège de Loudun. La pièce est du 25 ventôse an IX. La réponse porte : : maîtres 3 ;  élèves, 60 à 80 ; revenus, néant ; bâtiments très délabrés.

Le collège de Loudun fut rétabli en 1808. Par un décret de l’empereur daté de Saint-Cloud , le 2 juillet 1806, la ville de Loudun fut autorisée à établir une école secondaire communale, dans les bâtiments de son ancien collège concédés à cet effet : les mêmes bâtiments furent réparés le 1er novembre 1808, et les études reprirent leur cours, apès avoir été abandonnées pendant dix-huit années. Cette réorganisation du collège se fit sous l’administration de M. Confex Lachambre, maire de Loudun (4).

Suivent les noms des principaux du collège au cours du XIXème siècle :

1810-1818 Levieil, principal.
1818-1824 Louvet.
1824-1827 Gravellat.
1827-1833 Thibault.
1833-1835 Blin de Los.
1835 Favreau.
1836-1844 Perdriau.
1844-1848 Thibault.
1848-1856 Fournials.
1856-1859 Roger.
1859-1878 Harrivel.
1878-1881 Dubuc.
1881-1887 Desjacques.
1887-1889 Dorlin.
1889-1895 Lefebvre.
1895-1904 Thorel.
1904 Bouignol.

Parmi les professeurs de marque que posséda le collège de Loudun, au cours du XIXe siècle, nous en citons deux : M. Arnault Poirier, dont nous donnons plus loin la notice historique, à titre d’enfant de Loudun. L’autre est M. Ernest Jovy, né à Nevers, le 8 décembre 1859, d’une famille orléanaise. Licencié ès-lettres, il a successivement professé dans les collèges d’Eymoutiers (Haute-Vienne), de Loudun et d’Argentan (Orne) , avant d’aller à Vitry-le-François (Marne), où il est professeur de rhétorique, au collège. Cet érudit professeur a publié ses discours universitaires ; Le Patriotisme, Loudun, 1885 ; - La Question du grec, Loudun, 1886. Il a jadis créé à Loudun la Collection Jovy, recueil publié hebdomadairement, pendant dix ans, 1886-1896, par le Journal de Loudun, et contenant des documents relatifs à l’histoire du Loudunais. Ce recueil a stimulé l’ardeur archéologique d’un groupe de chercheurs poitevins, et a rendu des services. M. Jovy y a publié entre autres travaux : Le Loudunais au temps de Louis XIV ; Quelques mots d’histoire à propos d’un vieux document ; Notes et pièces pour servir à l’histoire du collège de Loudun de 1805 à 1865 ; Les Lettres circulaires de la Visitation de Loudun,  etc.

On doit encore à la plume féconde de M. Jovy :  Un juge d’Urbain Grandier, Louis Trincant, biographe inédit de Salmon Macrin, Loudun, 1892, in-8°. Trois documents inédits sur Urbain Grandier, et un document peu connu sur Richelieu. Paris, 1905.

Parmi les nombreux ouvrages de ce savant professeur, nous ne citons que ceux qui se rapportent au Loudunais.

Les Augustins, religieux mendiants, au vêtement noir et blanc, tenaient à Loudun une école qui a joui d’une certaine vogue. C’est ce qu’affirme M. Gilles de la Tourette dans sa brochure intitulée : Le Royaume du roy d’Ivetot, p.14.


(1) Ce domaine du collège de Loudun s’appelait le Collège. Il en porte encore le nom.
(2) La république saisit et vendit à son profit ces propriétés de Martigné et de la Chauveterie.
(3) Mém. De la Soc. Des Antiq. De l’Ouest 1846 , p. 154
(4) Journal de Loudun 1887, n°48.

Auguste-Louis Lerosey

in Loudun

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Timbre commémoratif

Enveloppe avec un timbre (non postal) sur le collège Chauvet

Timbre non postal du collège de Loudun

Le timbre non postal, ayant pour nom Collège de Loudun, collé sur l'enveloppe est probablement un timbre commémoratif. Il est divisé en deux parties.

La partie supérieure est une vue de la cour intérieure et porte la mention : Un coin de la cour.

La partie inférieure porte la mention Bâtiment des Chauvet, fondé en 1610, restauré en 1951.

Nous ne savons pas à quelle occasion ce timbre fut édité ni la date exacte.

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Photos de classe

Année scolaire 1929-1930

Année scolaire 1929-1930 — photo de la classe de philosophie

Classe de philosophie. La seule personne connue est le dernier à droite : Maurice Raymond, mon père. Nous remarquerons que cette classe ne comprenait que cinq élèves, ce qui n'a rien à voir avec les effectifs actuels ! L'autre remarque concerne le port de la cravate et celui de la blouse par les élèves, ainsi que le chapeau du professeur.

Votre participation

Pour ce site, nous recherchons photographies anciennes, si possible avec les noms des personnes représentées. Pour ce faire prendre contact ici.

Tours de potaches

Les tours et canulars de potaches ne datent pas d'aujourd'hui. Ceux que nous rapportons ici m'ont été racontés par mon père qui fut élèves de 1923-1924 à 1929-1930, puis surveillant quelques années au collège Guy-Chauvet de Loudun. les trois premières histoires e déroulent dans la classe de M. Dabin, professeur d'de physique et chimie.

  • Une explosion près du collège.
    Les élèves exécutaient une expérience de chimie. Elle consistait à chauffer une préparation. Le professeur avait attiré l'attention des élèves leur indiquant qu'il ne fallait surtout que la préparation atteingne le point d'ébullition. Les élèves allumèrent leur bec Bebsen et surveillaient avec la plus grande attention, mais les minutes passaient et rien de se produisait. L'attention se relâcha. D'un coup un cri jaillit dans la classe : « M'sieur ! Ça bout !
    « Malheureux » s'écrit le professeur. Il se précipide saisit la coupelle sur la paillasse, dans son élan, il ouvre la fenêtre et jette la coupelle dans la rue. Une détonation se fit entendre. Les élèves étaient muets de stupéfaction. Le silence fut troublé par les ménagères qui alertées par le bruit s'interpellaient cherchant à savoir ce qui s'était passé.
  • Électricité appliquée
    La leçon avait porté sur l'électricité. Les élèves avaient manipulé un générateur (probablement électrostatique). Le professeur avait montré qu'on pouvait sentir les effets de l'électricité ayant raccordé l'appareil à une masse métallique que les élèves pouvaient toucher. Il avait indiqué que certaines décharges pouvaient être mortelles. Le professeur étant quitté la salle de classe pour aller chercher quelque chose dans le labo contigu, les élèves relièrent l'appareil à la poignée en cuivre de la porte de la classe. Leur but était de piéger le camarade désigné pour porter de classe en classe le cahier de présence. Le professeur revenant dans la classe s'aprçut de la manipulation. « Vous savez, dit-il, ce n'est, en général, pas celui qu'on croit prendre qui se fait prendre. » Au bout d'un moment qulqu'un frappa à la porte d'une manière autoritaire. Tous les évèvent sursautèrent car ce n'était la manière d'un élève. La porte s'ouvrit aussitôt comme le faisait habituellement le principal, sans attendre qu'on lui dise d'entrer. Mais cette fois, il eut un mouvement de recul et faillit être bousculé par le surveillant général qui le suivait. Il resta médusé dans la porte entrebâillée. Avant qu'il n'ait pu articuler un mot, le professeur s'adressa à lui : « Monsieur le Principal, c'est un petit montage totalement inoffensif que je viens de leur enseigner. Je les avais pourtant mis en garde, leur indiquant qu'en général on ne piégeait pas celui qu'on visait. » Le principals'avança et comme si rien ne s'était passé, il lut les résultat du trimestre.
  • Chimie appliquée
    M. Dabin avait enseigné comment faire de petits pétards en humectant des bouts de buvard avec une solution chimique. Une fois humecté, il fallait un choc pour que le pétard explose. Un ou deux élèves avaient eu l'idée de faire des confettis de leurs buvards et de les imbiber pour les utiliser plus tard.
    Ils en répandirent dans l'allée centrale de la classe d'un professeur qui avait l'habitude d'aller et venir dans cette allée tout en faisant son cours. Tout le monde était au courant et chacun attendait le moment où un premier confetti allait retentir. Ce qui avait fonctionné pendant le cours de chimie semblait ne plus vouloir fonctionner. Et, le professeur arpentait l'allée sans aucun effet. On se regardait dans la classe l'air interrogatif jusqu'au moment où un premier pétard se fit entendre. Le professeur surpris piétina sur place comme s'il avait peur de poser les pieds par terre et ce fut un vrai feu d'artifice sonore.
  • Un visiteur arrivé à l'improviste
  • L'École du crime
    Tous les dimanches, les élèves pensionnaires, qui le voulaient, se rendaient à l'office dominical, accompagnés d'un surveillant. La loi de 1905 de la séparation de l'Église et de l'État n'était pas encore très vieille et une partie du clergé français luttait farouchement contre l'école publique. Un dimanche, le curé de la paroisse attaqua vivement l'école publique la qualifiant d'école du crime. Ces propos furent probablement rapportés au principal, fervent défenseur de l'école de la République. Il fit part de son mécontement au curé le menaçant de faire mettre les élèves du collège en rang pendant l'office et leur faire quitter l'église, en cas de récidive.
    Afin de vérifier le comportement du curé, en plus du surveillant habituel, le principal accompagna les élèves à la messe. Les élèves se placèrent à leurs places accoutumées mais lui se plaça dans l'allée centrale, restant debout pendant tout l'office, bien en vue de tous les fidèles qui ne pouvaient pas ne pas comprendre le bras de fer qui se jouait. Quand le curé monta en chaire, le principal se tourna vers lui, le fixa avec insistance lui montrant sa détermination. Le curé ne tint plus de propos provocateurs.
  • Disparitions inexpliquées de billes
    Outre la balle au pied qu'on appelle aujourd'hui foot-ball, les jeux de billes tenaient une place importante dans les cours de récréation. Curieusement, quelques fois depuis quelques temps à la fin des jeux, il y avait toujours des billes en moins. Malgré la surveillance des camarades entre eux, personne n'avait remarqué de chapardage. Le mystère était entier.
    Au bout de quelques temps, un surveillant rendit les billes disparues. Comme, entre temps, il avait ressemelé ses chaussures, il ne pouvait plus marcher sur les billes et les faire ainsi entrer dans sa chaussure par le trou dans la semelle ». S'il n'avait alors expliqué la cause des disparitions, le mystère serait toukours pas élucidé de nos jours ! »

1610-2010 Les 400 ans du lycée Guy-Chauvet

Loudun, 400 ans du lycée Guy-Chauvet


Loudun, 400 ans du lycée Guy-Chauvet

Invitation au vernissage de l'exposition Les images de l'histoire consacrée aux 400 ans de l'établissement, en présence de Philippe Rigault, proviseur et Elefthérios Benas, maire. L'exposition se tint du 2011-01-28 au 2011-0211. Voir sur Dailymotion le reportage effectué par Loudunaute.

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Quelques souvenirs du collège Guy-Chauvet

Quelques exemples de cahiers avec couverture portant la mention imprimée du collège sont présentés dans Antick le site des objets anciens ou en voie de disparaître.

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En souvenir d'Alain Godineau

Une salle de réunion du lycée Guy-Chauvet a été baptisée Alain-Godineau en mémoire à celui qui y fit toutes ses études et resta très attaché à la ville de Loudun participant activement à de nombreuses associations et fut le correspondant de La Nouvelle République pendant 37 ans. 

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Bibliographie

  • Yves Madec, professeur de collège par Brenn, nom de plume pour Émile Masson, librairie Ollendorf, Paris et dans les Cahiers de Quinzaine, alors dirigés par Péguy, 1905 dans les deux cas.
    Bien qu'Émile Masson n'indique pas explicitement que sa description concerne Loudun, son livre décrit son passage au collège Guy-Chauvet de Loudun. 

Après avoir enseigné à Loudun, il fut professeur de philosophie à Saumur de 1902 à 1904.

Jean Maitron

in Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier
Volume 14, Partie 3

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Dernière modification : 2011-05-21 - 18:05:35

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