A la Croisée de l'Anjou, de la Touraine et du Poitou
Civet de couennes de porc
Recette traditionnelle
Jean-Claude Raymond François Jourdin
Table des matières
Dans le cochon tout est bon.
Dicton
Le cochon constituait avec la basse-cour et le potager les bases de l'autarcie alimentaire ou de compléments de revenus. Dans les années 1950, beaucoup d'ouvriers avaient des lopins de terre en bordure des villes sur lesquels ils cultivaient leurs légumes. On y voyait souvent des cabanes pour abriter les outils mais aussi dans la plupart des cas un cochon. A la sortie de l'usine, les ouvriers apportaient la nourriture à leur cochon qui, dès qu'il entendait le bruit des bidons accrocher aux guidons des vélos couinaient, impatients.
De tels jardins ouvriers existent encore. Par exemple, à Châtellerault, non loin de l'avenue de Piffoux. On y trouve encore des cabanes de couleur verte, elles n'abritent plus de cochons. Cela est même peut-être interdit mais on continue à y cultiver des légumes et y avoir quelques arbres fruitiers.
A la
campagne, en 2007, il est encore
possible de faire élever un cochon par des agriculteurs et de le faire
tuer et cuisiner. Des personnes se chargent de l'abattage et de le
cuisiner pour vous. Les congélateurs sont une aide précieuse pour la
conservation de la viande. Ainsi, la congélation remplace en grande
partie les salaisons.
Ingrédients
Préparation
Cuisson
Consommation
Retour à l'article Gastronomie régionale .
A la Croisée de l'Anjou, de la Touraine et du Poitou vous remercie de votre visite
Dernière modification : 2007-12-22 - 11:55:39
Contact | Aranei-Orbis ? | Recherchons | Aide | Crédit | Nouveautés
Copyright :© Aranei-Orbis - 1997 - 2018 - Toute reproduction, adaptation, traduction réservée.