A la Croisée de l'Anjou, de la Touraine et du Poitou

Loudun et le roi d'Yvetot

par Jean-Claude Raymond

Le roi d'Yvetot, Loudun et les Du Bellay

Les différents Roi d'Yvetot créés en 1849, 1852 et 1873 devaient avoir rendu le petit roi très populaire et il devait être synonyme de fête. Cela aurait pu suffire pour que le thème du roi d'Yvetot fût pris comme thème de l'assemblée de la Place Scévole-de-Sainte-Marthe.

Mais Charbonneau-Lassay nous apprend qu’à Loudun, le Bourg de la Tour Volue était surnommé le « Royaume d’Yvetot », car la maison qui fait l’angle de cette rue et celle de la Porte de Mirebeau appartenait au XVIe siècle à la famille du Bellay.

Or un membre de cette illustre famille, Martin du Bellay, avait acquis ce titre en se mariant à Élisabeth Chenu qui l'avait. On le nommait roi Martin du Bellay d'Yvetot. Il mourut en 1559, date à partir de laquelle le titre de roi n'est plus utilisé. Il est remplacé par celui de prince comme cela apparaît pour un autre Martin du Bellay (dont Aranei-Orbis n'a pas retrouvé la parenté avec le premier).

Un autre Martin du Bellay, fils de René du Bellay et de Marie du Bellay, sa cousine, était prince d'Yvetot, seigneur de Gizeux, marquis de Thouarcé, seigneur du Bouchet-Touteville, de Commequiers, la Forêt-sur-Sèvre, la Haye-Jousselin de Benais (Indre-et-Loire), et de Chastelier-Montbault. A tous ces titres, il faut ajouter celui de prince d'Yvetot. La possession d'une maison à Loudun par un des rois ou princes d'Yvetot est donc plausible.

Dans la famille du Bellay, le dernier à porter le titre de Prince fut Charles. En effet, à sa mort, il le passa à Marie d'Appelvoisin, sa petite-nièce (voir Charles de Bellay par Tallemant des Réaux).

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Le Royaume du roi d'Yvetot à Loudun - texte de Léon Gilles de la Tourette

Il était un roi d’Yvetot
Peu connu dans l’histoire
Se levant tard, se couchant tôt
Dormant fort bien sans gloire :
Joyeux, simple et croyant le bien
Pour toute garde il n’avait rien
                            Qu’un chien
Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
Quel bon petit roi c’était là  Là, là.

Ce roi , les Loudunais le connurent et l’acclamèrent et il y a quelques années, parcourant la ville avec sa cour, un jour de cavalcade (voir aussi Les Cavalcades à Loudun), époque déjà loin ; où l’on savait prendre du plaisir en utilisant ce plaisir pour faire le bien.

Ce bon roi d’Yvetot est donc reparu dans son petit royaume, le dimanche 9 août 1874, jour de l’assemblée de la place Scévole de Ste Marthe.

Le royaume du roi d’Yvetot loudunais comprend un quartier de la ville, curieux à bien des titres, ses limites sont formées par le Vieux-Cimetière – La Place Sainte-Croix – La Porte de Mirebeau – le Boulevard.

Il contient dans son enceinte l’Abattoir – Le Pâquin – la Place Ste-Marthe – le Carroi aux Bouchers – les Rues Chevreau – des Irlandais – de l’Estrapade – du Trousse-Galant – des Augustins – du Puits-Gillet – de la Tour-Volu – Basse-du-Rempart.

Son palais se trouve situé au centre de ses états, rue des Irlandais. Les fenêtres toujours ouvertes donnent sur la voie publique elles permettent aux passants d’admirer à leur aise sa Majesté quand elle n’est pas en tournée ; - assise sur son trône à la manière orientale – son spectre à la main – on le voit occupé à distribuer aux ministres des deux sexes qui forment sa cour le travail quotidien dont lui-même garde la part la plus délicate.

Dans son intérieur le roi d’Yvetot loudunais aime à laisser de côté tout ce qui se rattache au luxe dans le costume, il veut être à l’aise, il tient à y voir les autres.

Dans les grands jours il n’en est plus de même, il sait alors déployer toutes les ressources d’une splendeur qui vous étonne et vous frappe – il faut le voir en grand uniforme – la taille serrée par un ceinturon bien bouclé – le chapeau à claque légèrement penché sur l’oreille droite – la main sur la hanche – le sabre au poing , - s’avançant gravement escorté des pompes loudunaises – sa vue vous éblouit – vous fascine – il devient majestueux – plus majestueux même que ne le fut jamais à Versailles , le roi Soleil au milieu de sa cour un jour de grand gala.

Son physique essentiellement sympathique attire et charme à la fois ses sujets ; sa corpulence vous fait envie – de petite stature, - ingambe – alerte – toujours en mouvement, on se demande quand son portefeuille des affaires étrangères sous le bras, il quitte son palais on se demande, dis-je, s’il marche ou s’il roule .

Ses épaules sont larges et solides – une tête bien plantée portée droite les surmonte, - ses cheveux grisonnants sont coupés courts, droits sur le front, comme jadis les avait l’empereur Titus, - ses yeux sont vifs, ombragés d’épais sourcils broussailleux, - son nez busqué par le haut est légèrement épaté par le bas, cette disposition ne semble pas naturelle, cela tient probablement à l’usage incessant que notre monarque fait de cette poudre divine si chère au grand Frédéric et à Napoléon 1er – avec l’âge on prévoit que cette organe prendra cette teinte luxuriante, signe d’une brillante santé, - ses lèvres sont minces, vermeilles, - toujours humides, comme elles sont toujours souriantes, surmontées d’une de ces robustes moustaches qui sont devenues l’apanage de la souveraineté et du commandement chez la plupart de nos potentats actuels, - un menton massif complète ce beau visage, une fossette bien accentuée s’y dessine à son centre.

De cet ensemble il résulte un physique parfait, qui sur la terre donne le prestige.

Le temps c’est de l’argent

Le roi d’Yvetot loudunais a 52 ans sonnés, âge où l’homme est dans la plénitude de sa maturité physique et morale, ayant pour lui l’expérience de la vie, la manière de s’en servir, les moyens de le faire ; sa vie est d’une régularité parfaite dans ses moindres actes, le roi d’Yvetot sait par expérience que le temps est de l’argent bien placé.

Dès son réveil, il ne manque jamais de tuer le ver, ce maudit ver dont tous les Loudunais sont plus ou moins atteints ; un morceau de fromage, une croûte de pain, un verre de vin, suffit aux moins féroces mais quelquefois il faut plusieurs litres de liquide pour noyer l’animal, qui semblable au phénix, renaît de ses cendres chaque matin, pour succomber de nouveau sous les coups répétés de ce petit vin blanc qui pétille et réjouit le cœur du buveur.

Le soir, on rencontre le roi d’Yvetot dans quelque cabaret fameux, le verre en main, il chante à la galerie attentive quelque refrain grivois, dont lui seul à le secret langage.

Il aime à se coucher de bonne heure, par contre il est le premier levé dans son quartier, bon père de famille autant qu’il est monarque débonnaire, on l’adore sous son toit comme dans ses états.

Le dimanche 2 août 1874 de 7 heures à 9 heures du soir, la musique de Loudun exécutait les plus gais morceaux de son répertoire sur l’esplanade de notre château, toute la ville s’était donnée rendez-vous sur ce point, l’affluence était telle que dans l’allée centrale la circulation était devenue presque impossible ; au milieu de cette foule, j’aperçois le roi d’Yvetot allant et venant d’un air affairé, un papier en main, la fine fleur de ses ministres, celui des délassements l’accompagnait, un ministre que la nature a doté de l’éloquence du geste de la persuasion de la parole et d’une désinvolture à nulle autre pareille.

Une souscription…


Je crus un moment que le château d’eau était à sec, que l’usine à gaz était en feu, en un mot que Loudun allait être de nouveau privé de lumières, heureusement il n’en était rien. Le roi d’Yvetot se dirigeait de mon côté, je pris la liberté de l’arrêter un instant ainsi que son escorte, demandant la cause d’un tel empressement.

Voici ce qu’il m’apprit :

Le dimanche 9 août doit avoir lieu l’assemblée de la place Ste-Marthe ; depuis 1870, époque néfaste dans notre histoire, cette assemblée était passée à l’état rudimentaire il s’agissait de la faire revivre ; le roi d’Yvetot, avec l’assentiment de la municipalité, s’était chargé de cette lourde tâche, il avait pris l’initiative d’une souscription parmi les habitants, afin de faire face aux dépenses de la fête ; c’était la liste de cette souscription que le roi promenait lui-même ; en quelques mots, il m’expliqua ce qu’il était dans l’intention de faire, puis il reprit sa marche de groupes en groupes ; la collecte fut fructueuse, puisque le mardi 4 août le programme suivant fut distribué à domicile, avec une profusion vraiment royale.

Le dimanche matin, dès l’aurore, des ouvriers étaient occupés à mettre la dernière main aux préparatifs de la fête. Le roi d’Yvetot présidait lui-même à l’ornementation de la porte du Pâquin, un immense arc de triomphe de verdure en garnissait l’entrée, au centre se détachaient les armes de la ville de Loudun, de gueules à la tour carrée crénelée d’argent maçonnées de sable, au chef d’azur chargé de trois fleurs de lys d’or. La route était laissée libre pour les promeneurs, - à gauche sous le couvert de marronniers un espace avait été clos pour la musique de la ville, qui devait faire danser l’aristocratie du quartier ; plus loin deux orchestres aux ménétriers infatigables étaient destinés au peuple, à droite, longeant la rue Basse-du-Rempart des cordes avaient été tendues d’un arbre à l’autre pour que la foule put jouir du spectacle des jeux.

A deux heures, le roi d’Yvetot en costume de ville, faisait son apparition sur la place Ste-Marthe, distribuant aux membres de son cortège les fonctions que chacun avait à remplir durant le jour et la soirée.

Manger six mètres de ficelle

Jusqu’à six heures la foule vit se dérouler devant ses yeux les jeux les plus folâtres, les exercices les plus variés et les plus désopilants, parmi ceux que nous avons remarqués citons le jeu de la poêle à frire, - la pêche à la ligne, - la dégustation de six mètres de ficelle, - la course en sacs, - la course aux ânes, etc. et j’en oublie des plus curieux, n’ayant pu tout voir sans courir le risque d’être écrasé.

A six heures, la première partie du programme étant remplie, le roi d’Yvetot invita la foule à prendre quelques heures de repos, il quitta le lieu de la fête lançant sur son passage des flots de dragées, sur lesquelles ses jeunes sujets se ruèrent aux cris mille fois répétés de vive le roi d’Yvetot.

A sept heures, le roi d’Yvetot ouvrait le bal champêtre, - la place était illuminée aux lanternes vénitiennes. A 9 heures le feu d’artifice s’embrasait dans un champ voisin de la route de Thouars, un immense feu de bengale en marquait la fin. Pendant toute la soirée les quadrilles et les polkas les plus tourbillonnantes se succédèrent avec un vertigineux entrain, la musique de la ville fit merveille.

Les cafés du voisinage ne désemplirent pas, la Baleine du Pâquin regorgeait de consommateurs, le café Sainton était pris d’assaut, les marchands forains venus à la fête accusèrent une recette magnifique, les débitantes de gâteaux furent contraintes plusieurs fois dans la soirée de renouveler leurs provisions presqu’aussitôt épuisées.

Le samedi 15 août, l’orphéon de la ville de Loudun chanta sous les fenêtres du roi d‘Yvetot une cantate composée en son honneur, nous regrettons de ne pouvoir donner ce morceau d’harmonie. La muse loudunaise n’aime pas à faire gémir la presse, bonne fille, si elle jette parfois son bonnet par-dessus les moulins, dans un moment de gaieté, elle le fait volontiers à la condition cependant de le rattraper, afin de s’en coiffer crânement, pour le fouet de la satire à la main, fustiger ceux qui méritent son blâme.

L’assemblée de la place Ste-Marthe s’est passée dans l’ordre le plus parfait, quelques lanternes vénitiennes ont bien disparu avant de s’éteindre, quelques mauvaises langues ont bien essayé de critiquer cette bonne journée, mais personne à l’heure actuelle ne songe plus aux lanternes perdues ni à la critique.

Le roi d’Yvetot de 1874 a bien mérité de la patrie.


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Yvetot et son roi

Yvetot est une petite ville de Haute-Normandie. Elle doit sa renommée à son Roi comme s'il n'y en avait eu qu'un. En effet, les possesseurs du franc-alleu d'Yvetot ont porté le titre de roi du XIVe au XVIe siècle. Certains auteurs sont plus précis et donnent les dates de 1203 à 1551. L'existence du royaume d'Yvetot et celle du titre de roi se rencontrent dans plusieurs documents anciens comme en témoigne la notice de M. Borel d'Hauteirve - Notice, annuaire de 1871, Notice historique sur les rois d'Yvetot.

Au XVIIe siècle, la principauté d'Yvetot comprend Yvetot et les villages de Saint-Clair-des-Monts, et de Sainte-Marie-des-Champs.

Pour asseoir cette bien petite royauté, il fallut, bien sûr l'ancrer dans des temps anciens. L'historien Froissard la fit remonter à Clothaire Ier qui aurait assassiné le seigneur de la terre d'Yvetot. Clothaire Ier pour se racheter aurait accordé des privilèges à Yvetot. Mais, cela n'est pas avéré. Les privilèges ne disparurent qu'à la Révolution. Dans cette légende, le roi sanguinaire s'opposait déjà au seigneur du lieu.

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Une célébrité tardive

On peut penser que sans Béranger, la célébrité du roi d'Yvetot ne serait pas ce qu'elle est aujourd'hui. Il semble que la découvete d'une enseigne de bar inspira à Béranger la chanson bien connue. Ecrite en 1813, elle oppose le débonnaire roi d'Yvetot qui se contente de peu à Napoléon alors au fait de sa gloire. Elle eut un grand succès et on la trouve encore dans beaucoup de recueils de chansons enfantines.

Le thème du bon roi continua de vivre et fut accomodé à plusieurs sauces.

  • En 1842, était créé à Paris, Le Roi d'Yvetot d'Adolphe Charles Adam, Opéra-comique. 
  • Pendant la Révolution de 1848, fut publié, à Paris, un pamphlet intitulé : Le parfait philantrope ou constitution socialiste et autographe de l'ex-roi d'Yvetot devenu républicain.
  • En 1859, c'est un vaudeville-pantomime, en 3 actes Le Grand Roi d'Yvetot de Louis Émile Vanderburck et Albert Guinon Dez.
  • Le 25 octobre 1873, Bruxelles voit la création de Le roi d'Yvetot en 3 actes, (H. Chabrillat, E. Hemery), musique de Léon Vasseur.
  • En 1930, création de Le Roi d'Yvetot de Jacques Ibert à l'Opéra-comique à Paris.

Quelques références biblographiques

  • Histoire du royaume et des rois d'Yvetot par-A. Labutte, 100 pp., 13x19 cm. Réimpression de l'édition de 1871. Éditions de Fontenelle 1995. ISBN 2-85019-035-7 45 F.
    L'histoire du Royaume d'Yvetot commence avec le repentir de Clotaire Ier coupable d'avoir assassiné le Seigneur de la terre d'Yvetot, elle s'achève en 1789 quand disparurent les derniers privilèges de ce royaume. Après avoir prouvé le bien fondé de l'appellation de royaume pour la terre d'Yvetot, l'auteur présente, non sans humour, les rois et les dynasties qui se sont succédé à Yvetot.
  • Dissertation sur l’origine du Royaume d’Yvetot par M. l’Abbé de Vertot.
  • Le roi d'Yvetot, lithographie de Vallot, Paris XIXe siècle.

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Le Roi d'Yvetot — texte de la chanson

Il était un roi d'Yvetot
Peu connu dans l'histoire,
Se levant tard, se couchant tôt,
Dormant fort bien sans gloire;
 
Et couronné par Jeanneton
D'un simple bonnet de coton,
Dit-on.
Oh! Oh! Oh! Oh! Ah! Ah! Ah! Ah!
Quel bon petit roi c'était là!
 
La, la.

Il faisait ses quatre repas
Dans son palais de chaume,
Et sur un âne, pas à pas,
Parcourait son royaume.

Joyeux, simple et croyant le bien,
Pour toute garde il n'avait rien
Qu'un chien.
Oh! Oh! Oh! Oh! Ah! Ah! Ah! Ah!
Quel bon petit roi c'était là!
 
La, la.

Il n'avait de goût onéreux
Qu'une soif un peu vive;
Mais, en rendant son peuple heureux,
Il faut bien qu'un roi vive.
 
Lui-même, à table et sans suppôt,
Sur chaque muid levait un pot
D'impôt.
Oh! Oh! Oh! Oh! Ah! Ah! Ah! Ah!
Quel bon petit roi c'était là!
  
La, la.

Aux filles de bonnes maisons
Comme il avait su plaire,
Ses sujets avaient cent raisons
De le nommer leur père:
 
D'ailleurs il ne levait de ban
Que pour tirer, quatre fois l'an,
Au blanc.
Oh! Oh! Oh! Oh! Ah! Ah! Ah! Ah!
Quel bon petit roi c'était là!
  
La, la.

Il n'agrandit point ses états,
Fut un voisin commode,
Et, modèle des potentats,
Prit le plaisir pour code.
  
Ce n'est que lorsqu'il expira
Que le peuple qui l'enterra
Pleura.
Oh! Oh! Oh! Oh! Ah! Ah! Ah! Ah!
Quel bon petit roi c'était là!
  
La, la.

On conserve encor le portrait
De ce digne et bon prince;
C'est l'enseigne d'un cabaret
Fameux dans la province.
 
Les jours de fête, bien souvent,
La foule s'écrie en buvant
Devant:
Oh! Oh! Oh! Oh! Ah! Ah! Ah! Ah!
Quel bon petit roi c'était là!
  
La, la.

Pierre Jean de Béranger
arrangement MH Colet ,
Le Roi d'Yvetot,
mai 1813

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Dernière modification : 2008-01-03 - 07:29:21

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