A la Croisée de l'Anjou, de la Touraine et du Poitou
V. Guignard et la Loire
par Jean-Claude Raymond
Table des matières
En abordant la ville par la route qui descend, au nord, les pentes de la rive droite de la Loire, Tours semble s'être étendue tout en longueur, comme pour rester plus étroitement liée au fleuve, qui lui apporte plus de poésie, de fraîcheur et de grâce que d'eau et de soucis. À droite et à gauche de ce pont, le coteau boisé donne l'illusion d'un parc merveilleux. La Loire a moins l'air d'un fleuve que d'un lac où se mirent des îles vertes, les crêtes ondoyantes du coteau qui l'entoure.
On voit des paysages plus étendus, plus impressionnants, plus variés ; on n'en voit pas de plus harmonieux, de plus souriants et de mieux composés, non pour émouvoir et surprendre, mais pour plaire et pour retenir.
V. Guignard
La Touraine. Jardin de la France
Maison Alfred Mame et fils, Tours
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Dernière modification : 2008-01-12 - 07:12:10
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